Biennales Biennale Art | Architecture
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Henry Taylor à la Biennale d'Art de Venise
Henry Taylor est né aux États-Unis en 1958, il vit et travaille à Los Angeles.
Le but de l’œuvre d'Henry Taylor est de peindre la réalité de la vie des Afro-Américains.
Ses portraits montrent à la fois les plus pauvres, les déshérités, mais aussi ceux qui ont réussi.
Henry Taylor veut ainsi témoigner de la réalité des Afro-Américains, des injustices du système et de la vie aux États-Unis.
Il peint les gens tels qu’ils sont, dans leurs difficultés, objectivement, en nous demandant seulement d’y prêter attention.
Henry Taylor « Untitled » Arsenal
Son triptyque « Untitled » exposé à l’Arsenal lors de la Biennale d’Art de Venise, réunit trois scènes symboliques relatives l’histoire des afro-américains.Le premier panneau est un portrait de Toussaint Louverture (1791-1804), le leader de la révolution à Haïti.
Le second se réfère à une peinture-texte de l’artiste conceptuel Glenn Ligon « Remember the Revolution #1 » (2004) dans laquelle les mots de Richard Pryor sont transformés en une sorte de mantra.
Pour le troisième volet du triptyque, il a utilisé une photographie des gens assistant aux funérailles de Carol Robertson, l’une des quatre jeunes femmes victimes d'un attentat à la bombe dans une église de Birmingham, en Alabama en 1963.
Henry Taylor « Untitled » Arsenal
Triptyque, Acrylique sur Toile, 2019 Biennale Art VeniseHenry Taylor « Hammons meets a Hyena on Holiday »
Peinture, Acrylique sur Toile 2016 Biennale Art VeniseCe tableau fait référence aux photos de David Hammons, à l'époque où cet artiste vendait des boules de neige dans les rues de New York.
Des photos auxquelles Taylor a ajouté des références au père noël et une mosquée malienne pour mieux montrer son irrévérence vis-à-vis du mélange culturel afro-américain.
Henry Taylor « Another Wrong »
Peinture, Acrylique sur Toile 2013 Biennale Art VeniseDans son tableau « Another Wrong », c'est un homme blanc qui est arrêté et emmené par des agents de police devant une maison de style colonial telle que l'on en trouvait dans les plantations.
Henry Taylor « Elan Supreme »
Peinture, Acrylique sur toile, 2016, Biennale Art Venise« Elan Supreme » est le portrait d'une femme noire qui exprime sa réussite sociale ainsi que sa dépendance à son téléphone portable.
Henry Taylor « I became... »
Peinture, Acrylique sur Toile (2016) Biennale Art VeniseArtistes Armitage | Bove | Bendayan | Bertlmann | Canosa | Chiha/Karim/Abdallah | Condo | Da Corte | David | Gruyter/Thys | Hamilton | Hernandez | Ihrman | Jamie | Jarpa | Jungerman | Kensmil | Kolíbal | Liu Wei | Marclay | Mehretu | Minoliti | Moulène | Muholi | Mulleady | Ozbolt | Pieski | Prouvost | Puryear | Shishkin | Singer | Sokurov | Stanczak | Taylor | Upson | Ursuta | Wagner/Burca | Wilkes| Yi A. | Yoon
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